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Improvisation et Ballet canique

Le thème

    Le Ballet Mécanique est un film expérimental réalisé en 1924 par Fernand Léger.

    Résolument moderne, il introduit au cinéma (12 ans avant Les Temps modernes de Charlie Chaplin) la civilisation machiniste et ses automatismes.
    La musique d’accompagnement “Ballet mécanique” que George Antheil a créé pour l’occasion (mais sans voir une image du film), est composée pour 16 pianos mécaniques, 2 pianos standards, percussions, sonneries électriques, sirènes, et hélices d’avions. Il considère son oeuvre comme étant la “première pièce au monde qui fut composée pour des machines et à l’aide de machines”.
    Pourtant, film et musique ne seront réunis qu’en 1990.
    Ces oeuvres singulières interrogent, et incitent à la réflexion sur des questions liées au rythme, aux automatismes et donc à l’improvisation.


Lecture

Évènement en lien

HALLE AUX DRAPS

    18:00 Ballet Mécanique

    Conférence-concert, avec 4 pianos, 8 percussions, une hélice d’avion... et un philosophe.

    Stéphane Ginsburgh, André Ristic, Jean-Luc Fafchamps, Kim Van den Brempt, piano Pierre Quiriny, xylophone et coordination Arthur Ros, Adrien Fortemps, Lucas Gilles, Jean-Michel Monart, Yuki Takano, Stéphane Letot, Jean-Louis Maton, percussion Charles Michiels, direction musicale Bernard Stiegler, philosophe.

    « Ballet Mécanique », oeuvre la plus célèbre du compositeur américain George Antheil, interprétée par un ensemble de 4 pianistes et 8 percussionnistes belges dirigés par Charles Michiels, aux sonorités percutantes propose une création aux timbres électriques et futuristes.
    « Ballet Mécanique » s’ouvre aux nouvelles technologies, que ce soit par la résonance des instruments ou le recours à la projection numérique d’extraits du film « Ballet Mécanique » de Fernand Léger et Dudley Murphy.


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